La stupeur, le désarroi se sont emparés des gens du terrain et vont certainement atteindre les salariés du siège.
L’art de la communication n’est plus chez GSK. De plus, les représentants du personnel (CCUES, CE, commission prospective-GPEC) n’ont été informés.
Lors des réunions de rentrée, notamment à Marseille et à Bordeaux, certains membres du comité de direction (et les mieux placés) ont lâché :
« le PSE allait se mettre en place plus tôt que prévu, que l’impact serait beaucoup plus important que prévu et d’ajouter que le siège serait largement impacté lui aussi. ».
Nous le savions, cette réorganisation était annoncée mais après la surprise de la cession de la thrombose, ces propos font froids dans le dos.
Ces dirigeants ont-ils mesuré les effets de tel propos sur les salariés qui travaillent seuls à longueur d’années ? Et maintenant ils s’investiront dans un numéro vert pour gérer le stress. GSK, une entreprise qui gère le bien-être de ses salariés.
Est-ce une bonne façon de remotiver les équipes, des équipes qui doutent de plus en plus. Est-ce un moyen pour que les salariés de la Thrombose acceptent plus facilement leur transfert chez ASPEN ?
Pour terminer, ils (nos dirigeants) annoncent qu’il n’y aura pas de mesure d’âge. La bouclette des mesures sociales est déjà prête…
Le CCUES se réunit le 12 septembre, nous ferons tout pour que ce sujet soit mis à l’ordre du jour ainsi que les bruits sur Marly d’un rapprochement (fusion) de SGP et de Pharma.